« Il n’y a d’art que pour et par autrui » : comment les apprenants sont co-auteurs des œuvres filmiques

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L’enseignant-didacticien de français langue étrangère qui exploite et pense l’exploitation du cinéma pour favoriser l’apprentissage, que nous nous permettons de nommer en faisant un néologisme « ciné-didacticien », se doit d’avoir certaines connaissances sur les processus cognitifs liés au cinéma. Il doit, en autres, avoir conscience qu’il n’y a pas une bonne interprétation d’un film, de son sens mais que chaque apprenant va participer à créer le sens d’un film. Lire la suite